Cet atelier était
particulièrement énergique et prometteur !
Alors qu'il n'y
avait encore qu'une poignée de participant-e-s présent-e-s, Marine
a mis de la musique puis nous a invités à marcher comme si nous
étions en ville sur un trajet du quotidien. Il s'agissait de
ressentir la musique et d'insuffler de la danse dans cette marche.
Alors, le groupe se croisait, chacun dans son trajet, chacun-e avec
son style particulier, dans sa bulle, ne devait pas faire attention
au reste de cette ville imaginaire. Comme des personnages de cinéma,
nous marchions, portés par le rythme, pour se raconter nos propres
histoires.
La marche s'est
accélérée, elle est devenue course. Puis nous nous sommes dis
bonjour, par la parole, par le geste. C'était la fin de ce
premier exercice.
Ensuite, sur des
notes de piano propice à l'introspection nous sommes allés au sol,
pour nous relaxer et commencer progressivement à visualiser en nous
une bille. Qui par ses mouvements à l'intérieur puis à
l'extérieur de notre corps, allait nous amener de l'immobilité vers
le mouvement. D'abord, par de léger étirements, des gestes limités,
jusqu'à se mettre debout et faire évoluer cette bille de part et
d'autres de notre corps.
Pendant ce temps,
notre nombre a un peu grossi.
Une fois cette mise
en jambe terminé, nous avons continué à travailler sur la
restitution du 16 mai que nous avions commencé à aborder lors des
ateliers précédents.
« Vous ne
serez pas des élèves le jour du spectacle. C'est vous les
professeurs, vous qui accueillez » dit Marine au groupe, avant
qu'on se mette dans les conditions du jour j : une partie
d'entre nous a joué les spectateurs tandis que l'autre les attendait
« sur scène » pour l'introduction « entre quatre
yeux ».
Marine propose de
continuer l'atelier dehors pour travailler des mouvements collectifs
de portés que nous avions commencé à travailler en plus petit
comité il y a quelques semaines.
A travers ces exercices je m'aperçois de la complicité et de la confiance qui s'est tissé dans le groupe depuis que nous avons commencé. Les contacts se font plutôt simplement, les éclats de rire ne sont jamais loin et au final : nombreux se laissent porter, au sens propre comme au sens figuré. Sans trop de réticence.
A travers ces exercices je m'aperçois de la complicité et de la confiance qui s'est tissé dans le groupe depuis que nous avons commencé. Les contacts se font plutôt simplement, les éclats de rire ne sont jamais loin et au final : nombreux se laissent porter, au sens propre comme au sens figuré. Sans trop de réticence.
Après ces exercices à deux où les participant-e-s se soutiennent chacun-e leur tour, deux groupes sont constitués, cette fois-ci c'est une
seule personne qui retient le reste des participants.
Pour finir par le même exercice de porté, mais avec tout le groupe ! Qui a l'air particulièrement propice pour créer de la bonne humeur.
Le dernier travail reprend ce principe de soutenir les autres, mais dans une forme plus élaborée qui demande aussi de la synchronisation.
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