Lors de cet atelier
l'énergie était débordante, parfois dur à canaliser, mais surtout
entraînante. Le groupe est
mouvant : quelques absents et de nouveaux visages parmi les
danseuses et les danseurs.
Julie a proposé à
chacun de partager un geste ou des gestes qui les représentent. Une
carte d’identité dans un monde où on ne donnerait pas son nom,
prénom, âge, etc... mais seulement un geste. Celui-ci, pourquoi
pas tiré d'une danse, d'une pratique, ou de son imaginaire, est
d'abord partagé avec les autres, pour ceux qui le souhaitent, puis
enregistré devant la caméra.
Les participants et
notre chorégraphe semblent prendre un grand plaisir à sentir
l'ensemble du groupe, à bouger ensemble, s'arrêter ensemble. Nous
avons commencé a essayé de mettre bout à bout les gestes partagés,
ce n'est pas évident, mais c'est drôle !
Lors du cercle
final, Julie a demandé à chacun d’expliquer quel était ce geste
et pourquoi ils l’avaient choisit, ce qu’il voulait dire avec…
Voici quelques-uns
de ces mouvements traduits en mots :
...
Le geste de la
joie
Une danse de
mariage
Un mouvement de
victoire d'un joueur de foot
Une danse
traditionnelle
Une danse
Inspirée d'un morceau de Soprano
Une danse R'nB
Le « merci »
de la Sophrologie
Un salut fait aux
personnes agés
Une danse Afghane
La Doundounba
La danse Azonto
...
Puis, celles et ceux
qui le souhaitaient ont été invité à partagé une chanson
d'enfance avec nous. Voici les trois
premières chansons qui nous ont été spontanément offertes acapella.
Merci à Keti,
Adama, Inès et tous les autres d'avoir partager ces paroles avec
nous.
Lors du prochain
atelier, nous continuerons ce travail de portrait à travers des
objets que chacun et chacune des participants seront invités à
apporter.
Avec ce groupe qui
s'agrège à travers le mouvement et depuis les particularités de
chacun, nous comptons bien créer du commun et le partager à notre
tour.
Rendez-vous à
l'hôtel Pasteur le 8 mars pour la suite.
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